You are currently viewing « Parler pour que les enfants apprennent »

« Parler pour que les enfants apprennent »

Aujourd’hui, j’ai envie de partager avec vous ma parler enfants apprennentdernière lecture. Sur les conseils d’une amie, j’ai relu Parler pour que les enfants apprennent à la maison et à l’école et la mise en pratique des différentes propositions m’a permis de rendre ma classe plus harmonieuse.

Sur le principe, rien de très nouveau par rapport au livre des mêmes auteurs : Parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent. Les habiletés de communication sont les mêmes, la principale différence réside dans le fait que les exemples sont pris dans le cadre scolaire.

C’est simple mais ça change tout ! Apprendre la communication non-violente pour l’appliquer en famille, c’est déjà un grand pas. Mais même si on l’applique et si on s’en imprègne à la maison, on peut se sentir dépassé et démuni en classe, avec un groupe d’enfants, quel que soit leur âge, que l’on connaît moins bien et avec qui l’on doit réussir à former un groupe.

Parce que, oui, à l’école, il faut former un groupe! J’avais choisi l’instruction en famille (IEF) pour que mes enfants apprennent de façon individualisée, sans groupe justement, sans entrer dans un moule… Mais en tant qu’éducatrice, même en école Montessori, je m’occupe bien d’un groupe d’élèves. Alors oui, ils ont chacun leurs particularités, leur histoire que je connais plus ou moins, je sais où chacun en est dans ses apprentissages… mais je ne peux tout de même pas m’occuper d’eux à l’école comme je m’occupais de mes enfants en IEF ! J’ai besoin qu’ils intègrent le groupe, pour des présentations collectives, des travaux ou des recherches à plusieurs, pour que chacun puisse avoir accès aux connaissances diffusées à la classe entière…

Certains enfants s’excluent eux-mêmes du groupe, se mettent en retrait, ne participent pas ou très peu. S’ils restent calmes, on aurait tendance à les oublier. S’ils sont turbulents, on aurait tendance à se fâcher, et les exclure encore plus.

Ce livre m’a aidé chercher (et de trouver!) des solutions, des pistes, pour communiquer avec ces enfants et petit à petit leur donner une place dans le groupe. Souvent en mettant en avant leurs qualités, ces enfants prennent peu à peu confiance en eux, et prennent alors part à la classe avec plus d’entrain.

Une classe soudée et qui aime travailler ensemble, c’est un des piliers de la réussite de chacun !

Partager l'article

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.